Invitation à entrer dans une sphère singulière (terre ou cocon) d’où scintillent trois pleines
lunes tambourins.
Une harpe et des tiges de cristal s’invitent pour aller se mêler aux sonorités de l’eau qui s’écoule des calebasses, qui ricochent sur des bâtons luminescents ou des « percussions pièges à sons ».
Ne pas chercher le fil d’une histoire, il y en a mille !
Les mélodies, les rythmes, les costumes... tout nous évoque un ailleurs poétique à partir de ce qu’il y a de plus
central : l’eau. L’eau source de vie et d’infinis plaisirs, petites gouttelettes, perles de sons, vagues rythmées et
apaisantes.
Une coulée douce, toute douce, avec des silences et des attentes comme des plumes en suspens, tout en
légèreté et en rêverie.
Tout concourt à nous mettre l’eau à la bouche avec tendresse et poésie.
Crédit photo : Philippe Jourdy